La revue de presse hebdomadaire: 23 octobre 2020


CHEO offre des soins vitaux grâce à sa nouvelle clinique de signes vitaux en santé mentale

cheo.on.ca
« Les soins virtuels ne peuvent pas tout faire », a ajouté la Dre Robb. La vérification régulière des signes vitaux est un élément essentiel des soins aux enfants et aux jeunes ayant des besoins en santé mentale, en particulier ceux qui prennent des médicaments. »

COVID-19: chute historique des dons d’organes
Le Journal de Montréal
« Les effets de la pandémie se répercutent lourdement sur les dons d’organes alors que près de 800 personnes sont en attente d’une greffe au Québec. »

Des recherches menées par une alliance nationale révèlent des faits troublants sur la principale cause de décès des femmes dans le monde
ottawaheart.ca
« Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès prématuré chez les femmes au Canada. L’Alliance nationale de la santé cardiaque des femmes (ANSCF), un réseau national de spécialistes et de défenseures de la santé cardiaque des femmes piloté par le Centre canadien de santé cardiaque pour les femmes (CCSCF) et l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa (ICUO) a publié cette semaine des recherches qui révèlent toute l’ampleur du problème. »

Le Réseau de cellules souches adhère au programme national d’affiliation de BioTalent Canada
stemcellnetwork.ca
« BioTalent Canada a annoncé aujourd’hui que le Réseau de cellules souches (RCS) a adhéré en tant que Partenaire Or Plus. Le RCS adhère au groupe composé de plus de 30 organisations qui ont joint le Programme de partenariatde BioTalent Canada. »

Qu’est-ce qui explique le nombre élevé de cas à Toronto malgré les restrictions ?
ICI.Radio-Canada.ca
« Selon Jimmy Dikeakos, virologue et professeur associé au département de microbiologie et d’immunologie de l’Université Western, les effets des … »

Un ultime espoir pour les patients les plus malades
ottawaheart.ca
« Les patients en état de choc cardiogénique avec régurgitation mitrale grave sont parmi les personnes les plus malades que soigne l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa (ICUO)… La chirurgie n’est généralement pas une option pour ces patients dont le taux de mortalité avoisine les 60 %. »