La revue de presse hebdomadaire: 3 octobre 2023

Concevoir des « thérapies vivantes » : Le Centre de fabrication de produits biothérapeutiques de L’Hôpital d’Ottawa joue un rôle crucial dans le secteur ontarien des sciences de la vie
Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa
« Les produits biothérapeutiques sont dotés d’un énorme potentiel d’améliorer la santé et de sauver des vies, et l’Ontario a les moyens de faire figure de pionnier dans la fabrication de ces thérapies novatrices. »
MOTS CLÉS: Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa, Université d’Ottawa, Université Carleton, Mitacs, BioCanRx

Plus de 1 M$ pour un projet à l’unité des soins intensifs du CHU Sainte-Justine
Faculté de médecine – Université de Montréal
« Scale A a annoncé un financement de 1,5 M$ pour le projet d’optimisation des ressources à l’Unité de soins intensifs pédiatriques du CHU Sainte-Justine. »
MOTS CLÉS: Université de Montréal, CHU Sainte-Justine

GSK annonce la plus importante contribution financière privée aux Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre de l’initiative de subventions d’équipe pour contrer les menaces à la santé pulmonaire au Canada
NewsWire.ca
« La contribution de 2 millions de dollars appuiera la recherche pour trouver des solutions fondées sur des données probantes qui permettront d’améliorer la santé pulmonaire de la population canadienne. »
MOTS CLÉS: GSK Canada, Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC)

De toutes petites cellules pour de tout petits poumons – Réseau des cellules souches
Réseau des cellules souches
« Il n’y a pas si longtemps, les cellules souches étaient des choses que l’on cultivait dans des boîtes de Petri. Aujourd’hui, elles sont à la base de thérapies qui changent la donne et qui peuvent sauver la vie des plus petits patients. »
MOTS CLÉS: Réseau des cellules souches, Hôpital d’Ottawa, Institut de recherche du CHEO

 Commotions cérébrales: ces athlètes qui ne rapportent pas leurs symptômes
Faculté de médecine – Université de Montréal
« Des athlètes universitaires qui ont déjà subi une commotion cérébrale sont moins enclins à rapporter les symptômes d’une nouvelle commotion s’ils la considèrent comme moins grave. »
MOTS CLÉS: Université de Montréal